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 la hyperactivité

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arcane
vis, jouie, la vie est si belle
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   Posté le 01-09-2009 à 08:16:59   Voir le profil de arcane (Offline)   Répondre à ce message   http://aurore-de-l-ambre.alloforum.com/profil.php   Envoyer un message privé à arcane   

Bonjour,

actuellement, je suis entrain crée un projets sur les handicaps invisible, suite à celui, je découvre plein de nouveauté sur cela.

Et ce que je croyais des handicaps sont peut-être juste des spécificité anciennes qui étais utile en une époque et qui ne sont plus adapté à notre époque moderne.

Donc on peut pensé à l'évolution de Darwin mais en version humain, concernant les pinsons.

La par exemple, j'ai échangé sur un forum de célibataire avec un hyperactif.

Puis en parcourant internet, j'ai vu tout les définitions qui existe sur cela.

Que c'est du à une différence génétique et hormonale, car c'est héréditaire en général. Plus d'autre paramètre comme parfois un manque d'oxygène à la naissance ou des raison alimentaire.

Ce qui est bizarre, j'ai un peu les même paramètre qui entre en compte, alors que je suis dyslexique.

je vous met ci-joint une copie de l'hyperactivité.

Le TDAH ou trouble déficit de l'attention/hyperactivité (en anglais Attention-deficit hyperactivity disorder, ADHD ou Attention-deficit disorder, ADD) est décrit comme un trouble comportemental qui pourrait être d'origine neurobiologique et parfois environnementale.[réf. nécessaire]
Ce « syndrome » est caractérisé par des états d'hyperactivité, des moments d'absence, des changements d'humeur, des problèmes de concentration et d'impulsivité. Sa détection et les soins à apporter font l'objet de nombreuses controverses.
Sommaire
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* 1 Causes
o 1.1 Génétique
o 1.2 Liens avec l'alimentation
* 2 Historique
* 3 Épidémiologie
* 4 Classification
* 5 Symptômes
o 5.1 Enfants hyperactifs et surdoués
* 6 Traitement
* 7 Controverse
* 8 Diagnostic
* 9 Notes et références
* 10 Voir aussi
o 10.1 Articles connexes
o 10.2 Liens externes
* 11 Bibliographie

Causes [modifier]

Cet état psychique serait dû a un déficit de dopamine, un neurotransmetteur.


Transmission chimique du neurone A (émetteur) au neurone B (récepteur)

1. Mitochondrie
2. Vésicule synaptique avec des neurotransmetteurs
3. Auto-récepteur
4. Lieu où l'échange est déficient (synapse)
5. Récepteurs postsynaptiques activés par neurotransmetteur (induction d'un potentiel postsynaptique)
6. Canal calcium
7. Exocytose d'un vésicule
8. Neurotransmetteur recapturé

Génétique [modifier]

Il existe un caractère héréditaire du TDAH, impliquant notamment le role des transporteurs de dopamine. Les gènes affectés comprennent transporteurs de dopamine, les récepteurs dopaminergiques D4, la dopamine beta-hydroxylase, la monoamine oxidase A, la catecholamine-methyl transferase, le transporteur de sérotonine (SLC6A4), le récepteur 5-hydroxytryptamine 2A (5-HT2A), le récepteur 5-hydroxytryptamine 1B (5-HT1B),[1] l'allèle 10-répétition du gène DAT1,[2] l'allèle 7-répétition du gène DRD4,[2] et le gène dopamine beta hydroxylase (DBH TaqI).[3]

Il ne s'agit en aucun cas d'une maladie ou d'un dysfonctionnement, mais d'un état neurologique ou un trait de personnalité génétiquement déterminé présent naturellement dans une partie de la population. Le TDAH aurait même favorisé la survie de nos ancêtres chasseurs-cueilleurs nomades [4], mais aurait été progressivement éliminé de la population une fois sédentarisée. [5] La variante génétique du TDAH serait donc l'état original de l'humanité, tandis que le non-TDAH est une évolution récente, et encore moins répandue parmi les populations (semi-)nomades. Il en va de même pour l'intolérance au lactose, qui est un fonctionnement originel de l'organisme humain, alors que la tolérance au lactose est une évolution récente liée à l'élevage de bovins, notamment en Europe du Nord et en Afrique centrale.

Liens avec l'alimentation [modifier]

Certains métaux lourds, comme le plomb, voire des colorants ou un conservateur (benzoate de sodium), absorbés lors de l'alimentation sont soupçonnés de contribuer à l'hyperactivité et au manque de concentration chez l'enfant.[6]

Les colorants sont très utilisés dans l'alimentation des enfants. Certains se sont montrés capable d’exacerber l'hyperactivité d'enfants déjà hyperactifs[7]. Le benzoate de sodium pourrait aussi être un facteur d’hyperactivité fois chez des enfants de la population générale. Les chercheurs doivent encore vérifier s’il s’agit d’une synergie entre le benzoate de sodium et certains colorants, ou si c’est l’effet du seul benzoate de sodium[7].

Historique [modifier]

L'une des premières descriptions du syndrome daterait de 1902[8]. La maladie est reconnue durant les années 1960 où elle apparaît dans les nomenclatures[9].


Épidémiologie [modifier]

Le diagnostic se fait souvent à l'âge scolaire alors que les symptômes nuisent à l'adaptation et atteindrait alors 3% à 5% des enfants dans les pays occidentaux.[10] Il semblerait que le TDA/H soit plus courant en Amérique du nord qu'en Europe, et dans le Nord de l'Europe plutôt que dans le sud.

Dans certaines populations nomades ou récemment sédentarisées, notamment en Afrique et parmi les Amérindiens, l'allèle 7-répétition du gène DRD4 responsable du TDA/H est beaucoup plus répandu et peut atteindre plus de la moitié de la population.

En Occident, environ 1/5 des cas de TDA/H sont de types hyperactif-dominants, alors que le trouble de l'attention est dominant dans 4/5 des cas.

Les symptômes diminuent avec le temps, mais il est estimé que 2/3 des adultes conservent cet état.[réf. nécessaire]

Ce syndrome atteindrait plus volontiers les filles (entre 3 et 9 fois plus) mais ces chiffres pourraient être biaisés du fait qu'une hyperactivité semble plus normale chez le garçon[9]. Il existe une très grande disparité des chiffres de prévalence de ce syndrome selon les pays ou l'époque étudiée, variant entre moins de 1 % (Hong-Kong) jusqu'à 25% (États-Unis)[9]. L'explication de ces disparité n'est pas claire : critères différents, facteurs culturels ? Swanson souligne en 89 que cette prévalence semble parfois être corrélé à la politique marketing du principal traitement (méthylphénidate ou Ritaline)[9].

Classification [modifier]

La classification internationale des maladies (CIM 10) définit les troubles hyperkinétiques (code F90) comme des « troubles caractérisés par un début précoce (habituellement au cours des cinq premières années de la vie), un manque de persévérance dans les activités qui exigent une participation cognitive et une tendance à passer d'une activité à l'autre sans en finir aucune, associés à une activité globale désorganisée, incoordonnée et excessive. »

Dans la version la plus récente du DSM (4e édition texte révisé, APA, 2004), le Trouble déficit de l'attention/hyperactivité (TDA/H) se caractérise par deux séries de manifestations, le déficit de l’attention d’un côté et l’hyperactivité-impulsivité de l’autre.

Pour la classification française des troubles mentaux de l'enfant et de l'adolescent (CFTMEA), l'hyperkinésie avec troubles de l'attention (code 7.00), classée parmi les troubles des conduites et des comportements, est caractérisée « sur le versant psychique [par] des difficultés à fixer l'attention, un manque de constance dans les activités qui exigent une participation cognitive, une tendance à une activité désorganisée, incoordonnée et excessive, et un certain degré d'impulsivité ; - sur le plan moteur [par] une hyperactivité ou une agitation motrice incessante. »

Symptômes [modifier]

* impulsivité
* hyperactivité
* impatience
* facilement irrité, frustré
* sautes d'humeur, surtout quand dérangé lors d'une activité
* inattention, difficulté de se concentrer pour une période prolongée
* moments d'absence, rêveries
* difficulté à se mettre au travail
* trop de choses en tête à la fois
* commence trop de choses à la fois sans les achever
* faible tolérance à l'ennui
* difficulté de suivre les procédures établies
* anti-conformisme
* changements fréquents de hobbys, de centre d'intérets, de travail, etc.
* agitation, surexcitation
* comportement obsessionnel compulsif
* cyclothymie
* se fait du souci pour beaucoup de choses inutilement
* manque d'organisation
* sentiment d'insécurité
* sentiment de manque de réalisation de soi

Ces caractéristiques ne sont en aucun cas spécifiques de la maladie et se retrouvent, à des degrés divers, chez tous les enfants normaux, au point qu'un certain nombre de personnes nient la réalité du syndrome[11].

Enfants hyperactifs et surdoués [modifier]

Il est parfois difficile de voir la différence entre les enfants surdoués et les enfants hyperactifs, avec ou sans déficit d'attention, car il est fréquent que les enfants surdoués souffrent aussi d'hyperactivité.[réf. nécessaire]

En effet dans les deux cas l'enfant :

* fait preuve de peu d'attention en classe, il s'ennuie
* a tendance à s'opposer à l'autorité du professeur
* souffre d'un manque d'estime de soi
* a peu d'amis
* met en doute les règles et règlements
* est perfectionniste
* a un développement inégal
* fait preuve d'une autocritique excessive
* a des tendances dépressives
* évite de prendre des risques
* a peur de l'échec
* est impatient avec les autres
* n'aime pas la routine
* pose trop de questions
* est excessif dans ses intérêts
* a un caractère fort
* résiste à la guidance
* remet en question les procédures d'apprentissage
* n'aime pas les zones non claires ou illogiques
* se préoccupe de sujets humanitaires
* construit des règles compliquées
* voudrait être le chef
* utilise le langage pour manipuler les autres
* est intolérant
* néglige ses devoirs
* peut être perçu comme dérangeant, à côté de la plaque
* peut être perçu comme têtu, borné
* est frustré par l'inactivité
* peut être perçu comme hyperactif
* peut sembler désorganisé et dispersé
* est frustré par le manque de temps
* possède parfois un drôle de sens de l'humour, les autres ne comprennent pas le sien et inversement
* est indépendant
* préfère le travail individuel
* recherche à organiser les choses et les gens
* a un vocabulaire étendu
* possède des connaissances variées et étendues
* a de grandes aspirations pour lui et les autres
* est terriblement exigeant envers lui-même et les autres
* est créatif
* est inventif
* fait preuve d'une hypersensibilité
* a beaucoup d'énergie et de vivacité

Traitement [modifier]

Le traitement médicamenteux repose généralement sur des psychostimulants qui stimulent le système nerveux central. Il ne semble pas induire de dépendance chez le sujet traité, dès lors que des plages d'arrêt du traitement sont observées.[réf. nécessaire] À un dosage élevé, un des médicaments a donné lieu à des retards de croissance mais qui se rattraperaient à l'arrêt.[réf. nécessaire] Le méthylphénidate est l'un des médicaments les plus employés dans cette indication, ce dernier existant sous forme à libération prolongée ou non.

Controverse [modifier]

Cet article ou cette section doit être recyclé.
Une réorganisation et une clarification du contenu est nécessaire. Discutez des points à améliorer en page de discussion.

"À l'origine l'hyperactivité, lorsqu'elle n'était pas rattachable à une autre entité psychopathologique comme des troubles caractériels, abandonniques ou pré-psychotiques, était attribuée à des atteintes neurologiques - mêmes mineures - qu'on appelait MBD (minimal brain dysfunction) ou encore désordre cérébral mineur[réf. nécessaire].

Les troubles résultaient d'un évènement traumatique repérable (anoxie de naissance, etc.) dont on pouvait légitimement penser qu'ils produiraient des séquelles neurologiques. Aujourd'hui ce diagnostic semble être devenu un diagnostic valise où sont regroupés tous les symptômes et syndromes décrits ci-dessus et bien d'autres encore (dépressions, anhédonie, etc.).

Pour parer les critiques, certains fervents[Qui ?] de ce type d'appellation arguent qu'il faut inférer des co-morbidité révélant ainsi une vision du fonctionnement psychique en tiroirs étanches ou, autrement dit, à l'absence d'une clinique psychopathologique qui considère l'être humain dans son ensemble et pas par petits bouts juxtaposés de maladies.

L'impression des psychologues et psychiatres - qui doutent pour le moins de ce diagnostic ou/et de la fréquence avec lequel il est posé maintenant même chez des adultes - est qu'on assiste aux effets d'une trouvaille, l'efficacité inexpliquée de la Ritaline[réf. souhaitée] bien plus qu'à l'émergence d'une nouvelle entité psychopathologique.

Il suffirait ainsi qu'un médicament agisse pour qu'on pose un diagnostic. Un antipsychotique est-il efficace ? On a à faire à une psychose ! Un antidépresseur est-il bénéfique ? Aucun doute, on a à faire à une dépression ! Avec ce type de clinique, nul besoin d'effectuer de longues et coûteuses études de médecine, de psychiatrie, de psychologie, etc. Il suffirait d'une industrie pharmaceutique performante et de stagiaires qui feraient passer des questionnaires aux "sujet" cobayes". Voilà comment les contradicteurs du TDA en arrivent à évaluer la situation induite par les excès de l'utilisation de diagnostics inventés de toutes pièces.

Quand au preuves biologiques de l'existence du TDA, elles se révèlent être tout à fait aléatoires. En médecine somatique, ce type de preuves ne serait pas retenues... Extraterritorialité de la discipline psychiatrie ?

Diagnostic [modifier]

En Europe, l'évaluation se fait par un pédopsychiatre qui est seul habilité à délivrer un médicament (Ritaline) qui, par ailleurs, figure dans la liste des stupéfiants. En Amérique du Nord, des psychologues peuvent effectuer ce travail ce qui est contraire aux règles éthiques des psychologues européens. En France, ce sont les neurologues qui peuvent poser le diagnostic du TDA avec ou sans

Voilà plus je fais des recherches plus je remarque des liens entres les divers différence mental que soit la dyslexie, l'hyperactivité, l'autisme..

Arcane

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